Mon compte


Créer un compte

Vient de paraître

Newsletter

Pour être informé des nouveautés - des offres spéciales - des promotions, inscrivez-vous à notre lettre d'information!

 

 

Facebook

Retrouvez les Editions du Parvis
sur facebook!

Des nouveautés,
des prières de la semaine,
des infos, etc.

L’Acte d’Abandon

Don Dolindo - «Jésus, c’est à Toi d’y penser»

L’Acte d’Abandon composé par Don Dolindo est un instrument de méditation et de prière, simple et très puissant en même temps, fondé uniquement sur l’acte de totale remise de soi avec confiance entre les mains du Christ.

Aujourd’hui il est traduit et connu dans le monde entier. Il est source de beaucoup de grâces, de conversions et de guérisons du corps et de l’âme. Tout portrait de Don Dolindo serait incomplet sans s’arrêter sur le texte:
Jésus aux âmes: «Pourquoi êtes-vous dans la confusion et l’agitation? Laissez-Moi le soin de vos affaires et tout se calmera. Je vous dis en vérité que tout acte de vrai, aveugle, complet abandon en moi produit l’effet que vous désirez et résout une situation épineuse.
S’abandonner à Moi ne signifie pas s’agiter, se bouleverser et désespérer, puis m’adresser une prière agitée pour que Je vous suive et change ainsi l’agitation en prière. S’abandonner signifie fermer placidement les yeux de l’âme, détourner la pensée de la tribulation et s’en remettre à Moi pour que Moi seul vous fasse vous sentir comme de petits enfants endormis dans les bras maternels, sur l’autre rive.
Ce qui vous bouleverse et vous fait un grand mal, c’est votre raisonnement, votre pensée, votre hantise et votre désir de soigner à tout prix votre affliction.
Que de choses se réalisent quand l’âme, pour ses besoins spirituels ou matériels, s’adresse à Moi, Me regarde en Me disant: «Jésus, c’est à Toi d’y penser», puis ferme les yeux et se repose! Vous avez peu de grâces quand vous avez la hantise de les produire, vous en avez beaucoup, quand la prière est pleine de confiance en Moi. Dans la douleur, vous priez pour que J’agisse, mais pour que J’opère comme vous le pensez… Vous ne vous adressez pas à moi, mais vous voulez que Je m’adapte à vos idées. Vous n’êtes pas des infirmes qui demandent au médecin des soins, mais qui les lui suggèrent. N’agissez pas ainsi, mais priez, comme Je vous ai appris, le Pater: «Que ton Nom soit sanctifié», c’est-à-dire qu’il soit glorifié dans ma nécessité. «Que ton Règne vienne», que tout concoure à ton Règne en nous et dans le monde. «Que ta Volonté soit faite» autrement dit: «C’est à Toi d’y penser.»
Si vous me dites vraiment: «Que ta Volonté soit faite», qui est semblable à «C’est à Toi d’y penser», J’interviens par ma Toute-Puissance et Je résous les situations les plus difficiles. Tu vois que le mal augmente au lieu de diminuer? Ne t’agite pas, ferme les yeux et dis-Moi avec confiance: «Que ta Volonté soit faite, Jésus, c’est à Toi d’y penser.» Je te dis que J’y pense, que J’interviens comme médecin et que J’accomplis aussi un miracle quand il le faut. Tu vois que le malade va plus mal? Ne sois pas bouleversé, mais ferme les yeux et dis: «C’est à Toi d’y penser.» Je te dis que Je M’en occupe.
Ce qui va à l’encontre de l’abandon c’est la préoccupation, l’agitation, vouloir penser aux conséquences d’un fait. C’est comme la confusion que portent les enfants, qui prétendent que leur maman pense à leurs besoins et veulent y penser eux-mêmes faisant obstacle avec leurs idées et leurs manies infantiles à son travail.
Je m’en occupe, seulement quand vous fermez les yeux. Vous êtes insomniaques, vous voulez tout évaluer, tout scruter faisant confiance seulement aux hommes. Vous voulez penser à tout et vous vous abandonnez ainsi aux capacités humaines, ou pire, aux hommes, confiants dans leur intervention. C’est cela qui fait obstacle à mes Paroles et à mes vues. Oh, comme Je désire de votre part cet abandon pour vous combler et comme Je suis affligé de vous voir agités! Satan tend vraiment à cela: vous agiter pour vous soustraire à mon action et faire de vous la proie des initiatives humaines. Confiez-vous à Moi seul, reposez-vous en Moi, abandonnez-vous à moi en tout. Je fais des miracles en fonction du plein abandon en Moi et de l’absence de souci de vous. Je répands des trésors de grâces, quand vous êtes dans la totale pauvreté! Si vous avez des ressources personnelles, même en petite quantité, si vous en cherchez, vous êtes dans le domaine du naturel, vous suivez donc le parcours naturel des choses qui est souvent plein de pièges sataniques. Aucun homme de réflexion n’a fait de miracles, pas même parmi les saints. Agit divinement celui qui s’abandonne à Dieu. Quand tu vois que la situation se complique, dis avec les yeux de l’âme fermés: «Jésus, c’est à Toi d’y penser.» Et détourne ta pensée, car l’esprit est subtil… et pour toi il est difficile de voir le mal. Fais-Moi souvent confiance, détourne ta pensée de toi-même. Agis ainsi chaque fois que tu en as besoin. Faites tous ainsi et vous verrez de grands, continuels et silencieux miracles. Je vous le jure par mon amour. J’y penserai, Je vous l’assure. Priez toujours avec cet abandon et vous en récolterez une grande paix et beaucoup de fruits, même quand Je vous fais la grâce de l’immolation, de la réparation et de l’amour qui impose la souffrance. Cela te semble impossible? Ferme les yeux et dis de toute ton âme: «“Jésus, c’est à Toi d’y penser.” Ne crains rien, Je vais le faire. Tu béniras mon Nom en t’humiliant. Mille prières ne valent pas un seul acte d’abandon confiant. Souviens-toi bien de cela. Il n’est pas de neuvaine plus efficace que celle-ci: “Ô Jésus, je m’abandonne à Toi, c’est à Toi d’y penser!”»

«Jésus c’est à Toi d’y penser», pp. 153-157

Photo: Don Dolindo, âgé, entouré par ses sœurs: Cristina (à droite) et Emma (à gauche)

 

Rosaire de l’abandon composé par Don Dolindo:

«Seigneur, que ton Nom soit béni, que ta Volonté soit faite.»
1re dizaine: «Jésus, c’est à Toi d’y penser.», 10 fois à la place des Ave Maria;
(A la fin de la dizaine) Gloire au Père
«Ô Marie, ma Mère, viens à mon secours!»
2e dizaine: «Ô Marie, ma Mère, c’est à toi d’y penser.», 10 fois;
(A la fin de la dizaine) Je vous salue Marie
«Seigneur, que ton Nom soit béni, que ta Volonté soit faite.»
3e dizaine: «Jésus, c’est à Toi d’y penser.», 10 fois;
Gloire au Père
«Ô Marie, ma Mère, viens à mon secours!»
4e dizaine: «Ô Marie, ma Mère, c’est à toi d’y penser.», 10 fois;
Je vous salue Marie
«Seigneur, que ton Nom soit béni, que ta Volonté soit faite.»
5e dizaine: «Jésus, c’est à Toi d’y penser», 10 fois;
Gloire au Père
Terminer avec le Notre Père.

Mots-clés