Humanité, quand donc vas-tu te repentir?
Fille du Soleil - «Je vous attends dans mon Sacré-Cœur»
1er octobre 2004
La planète en pleine agonie vit ses derniers soubresauts, vous vous désolez quand cela arrive, mais je n’entends pas vos voix me crier: «Père, pardonnez-nous, nous ne savons pas ce que nous faisons», je n’entends pas votre cœur se lamenter sur vos fautes passées, ni de changement dans vos vies. Je regarde la terre, je ne vois que désolation provoquée par un matérialisme malsain. L’iniquité de ce monde dépasse largement ce que j’ai pu voir les siècles passés; vous vous créez de faux dieux, vous rejetez mes lois et me piétinez. Pensez-vous que je sois l’auteur des malheurs qui s’accumulent sur votre planète? Vous en êtes les seuls responsables. Beaucoup de fléaux ont été annulés par la force de la prière assidue de mon petit troupeau, ce que vous vivez actuellement est prémice de ce qui vous attend. Mon Père laissera agir jusqu’à ce que vous compreniez qu’on ne se moque pas de lui, il y a un temps pour prendre connaissance des paroles que je vous donne, un temps pour se repentir et changer de vie, mais comprenez que ce temps que je vous accorde, au fil des ans, est devenu très limité. Sans Dieu vous ne pouvez rien, votre orgueil démesuré vous pousse à croire que vous n’avez pas besoin de moi. La terre va vivre le deuil des enfants innocents massacrés chaque jour par milliers dans le ventre de leur mère, tous les péchés contre les dix commandements ont provoqué une rupture de l’ordre établi par mon Père, les effets s’en ressentiront dans le cœur de celui qui les a commis, mais également sur le plan mondial. Beaucoup d’habitants de ce monde se désolent et se désoleront encore de la perte des leurs, mais combien, combien pensent à se tourner vers moi, leur Seigneur! C’est maintenant, à la lecture de ce message, que j’attends votre repentir, ne dites pas: «les autres n’ont qu’à prier pour moi»; c’est le changement de votre cœur que je désire, personne ne peut agir à votre place. La terre se révolte, c’est le temps de la grande purification, d’énormes changements vont intervenir sur votre planète dévastée et polluée, entourée des ténèbres de vos péchés accumulés. Vous avez entendu parler de la fin du monde, je vous dis non! Vous vivez la fin d’un temps, rien ne sera plus comme avant, il faut vous y préparer. Pleurez sur vous-mêmes et sur vos enfants, qu’adviendra-t-il de vous qui refusez mon amour et n’implorez pas ma miséricorde?
2 octobre 2004
Fille du Soleil, sois le baume de mon Cœur, écoute mes paroles, persévère… viens consoler le Cœur de ton Dieu qui pleure devant l’indifférence de ses créatures. Adoucis ma tristesse, plonge dans les mystères de mes saintes plaies, rassasie-toi de ma plénitude, je donne à qui veut prendre. Sèche les larmes de ton Sauveur, console l’Amour délaissé, je t’embaume des parfums de mon royaume, des lys de mon jardin, viens dans mon Ciel, je t’attends, sois ma tendresse, mon réconfort dans ma solitude. Aime-moi pour ceux qui ne veulent pas me connaître, sois le petit rien de mon Cœur à qui il me plaît tant de donner. Mon amertume est à son comble, mes bourreaux me frappent sans arrêt, je n’ai pas de répit, je dérange, ils ne veulent pas de moi. Regarde mon Cœur saigner, j’ai mis beaucoup d’amour dans le leur, ils ne le partagent pas avec moi. Je suis à côté de chacune de mes créatures, mais je reste dans la solitude des années entières.
Amour, sèche tes larmes, dis-moi que tu m’aimes pour ceux qui ne m’aiment pas, comble le vide de mon cœur en attendant que les miens me reviennent. Prends ma croix et ma couronne d’épines, je te les offre parce que tu es mienne, permets-moi de me reposer en toi, le veux-tu?
Mon Jésus, je t’aime, je veux t’aimer pour ceux qui ne t’aiment pas, fais de moi ce que tu voudras.
Tu réchauffes mon Cœur, j’aime tellement être consolé par mes créatures pour qui j’ai tant souffert, si elles pouvaient m’accorder, ne fut-ce qu’un regard, une pensée, ce serait le début d’une belle histoire entre elles et moi. Combien j’attends ce moment, petites créatures de mon Cœur! Dois-je m’abaisser à ce point pour vous faire comprendre que l’Amour vous attend. Ne soyez pas intimidées, vous ne me connaissez pas, je sais tout de vous, je vous ai vu naître et grandir, vous éloignant de moi pour devenir la proie des loups voraces, je suis près de vous et vous demande humblement de répondre à mon appel, me laisseriez-vous sans réponse? Je vous tends les bras, est-ce vraiment si difficile?
Vous me devez tout et je ne vous dois rien; vous me méprisez, je vous dis que je vous aime passionnément; vous m’avez offensé, je vous pardonne; vous m’avez abandonné, je reviens vous chercher. Je veux faire de vous un jardin que je cultiverai à mon gré, arrachant les mauvaises herbes et arrosant les jeunes pousses pour qu’elles deviennent de jolies fleurs au parfum de sainteté.
Votre Jésus, l’Amour délaissé.
«Je vous attends dans mon Sacré-Cœur», pp. 83-86