Jésus veut régner au milieu de vous!

San Damiano - Message de Notre-Dame des Roses

La Maman céleste: «Mes enfants, je suis ici au milieu de vous avec mon Fils Jésus, qui vous aime tant, pour apporter la paix, la joie et l’amour dans les cœurs. Jésus est avec vous. Jésus est au milieu de vous. Jésus veut entrer dans votre cœur pour l’enflammer, pour vous encourager et pour répandre grâces et miséricorde. Vous, mes enfants, donnez-vous tout à lui; donnez-lui également vos péchés, car il les détruira et enflammera votre cœur d’un ardent amour pour lui. Jésus est si miséricordieux, il est tout amour, il est juge, il est puissant, il vous assiste en tout et pour tout! Mais vous, recourez à lui avec foi pour obtenir toutes les grâces que vous désirez.
Courage, mes enfants! Vous devez être forts, ne pas vous laisser abattre dans les tentations, car le démon fait tout pour ravir les âmes. Il a tant de malice et, avec son orgueil, il ravit les âmes. Tant d’âmes sont sur le bord du précipice!
Ecoutez mon appel et celui de mon Fils Jésus pendant que vous en avez encore le temps! Nous vous aimons beaucoup et vous voulons sauvés. Nous voulons qu’il n’y ait plus d’orgueil ni de malice. Partout doivent régner la paix et l’amour dans les cœurs, tout pour consoler mon cœur et celui de mon Fils Jésus.
Mes enfants, écoutez-moi! Je suis au milieu de vous, ici, pour vous apporter beaucoup de grâces, mais vous devez promettre de réciter le saint rosaire, parce que le rosaire est l’arme la plus puissante – je vous le répète toujours – pour obtenir n’importe quelle grâce. Il est l’union des familles, l’amour que l’on se donne l’un à l’autre, la paix dans les cœurs, dans les familles et dans les nations. Promettez, mes enfants! Il y a si longtemps que je vous le répète, tant de temps que je vous appelle dans toutes les parties du monde à la prière et à la pénitence, parce que dans les familles on ne prie plus, qu’il n’y a plus d’amour et que Jésus et Marie ne règnent plus. Ils ne demandent plus miséricorde, ni aide, ni réconfort; ils veulent faire par eux-mêmes, mais, seuls, ils ne pourront rien faire! Dans les heures tristes, il n’y a que mon aide, ma puissance, mon réconfort!
Ecoutez-moi, mes enfants! Ne voyez-vous pas comment se présente actuellement le monde? Ne voyez-vous pas tous ces châtiments et tant de morts sur les routes? Lorsque vous partez de la maison, demandez toujours aide et protection à votre Maman du ciel et à votre ange gardien, et nous serons alors vos guides dans les voyages, durant le travail, au cours de la journée, pendant les longues nuits.
Mes enfants, les heures tristes sont proches, mais aussi les heures de joie! Ceux qui veulent bien me comprendre et m’aimer saisiront tout l’amour que je vous donne en ces années où je me promène sur cette terre. J’ai sauvé tant d’âmes et vous ai appelés tant de fois pour vous sauver. C’était moi, c’est moi qui suis au milieu de vous pour vous donner toutes les grâces que vous désirez, pour les jeunes, pour les personnes âgées, pour mes fils de prédilection que j’aime tant.
Que tous me connaissent, moi qui suis la corédemptrice, la Mère de tous qui vient pour donner la joie, le triomphe dans toutes les nations, la paix partout, ainsi que la grâce de Dieu.
Jésus est avec vous. Il veut régner au milieu de vous! Il viendra, il viendra aussi mon Fils Jésus sur cette terre! Viendra ce jour bienheureux qui ne sera qu’un chant de grâces, de paix, d’amour ici-bas avec tous les anges et les saints de là-haut. Tous les prophètes viendront aussi annoncer la vérité, la grandeur de Dieu, mais il y aura aussi au milieu d’eux le démon qui fera des ravages si vous n’écoutez pas la parole de Jésus.
Vive Jésus, vive Marie! Nous serons toujours en votre compagnie si vous nous écoutez et nous aimez. Priez, mes enfants, je vous le répète, et faites priez vos enfants, aimez-les, réunissez-les souvent auprès de vous avec le saint rosaire, afin que la grâce de l’Esprit Saint entre en eux et qu’ils soient éclairés pour bien vivre, bien mourir et être tous réunis là-haut dans le ciel… Au revoir, mes enfants! Préparez-vous à ma venue!»

5 juillet 1968