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Prêts pour la prière du Chapelet en public?

Avec la seule arme qui puisse nous aider

 

L’Esprit Saint a soufflé fort sur un père de famille de 11 enfants, Louis-Pierre Laroche, catholique français résidant en Autriche. Notamment inspiré par l’histoire victorieuse du Rosaire en Autriche, il a lancé l’idée de prier le chapelet en public. Le mouvement s’est immédiatement répandu en France avec déjà plus de 2393 points de prière en France:

Depuis que la crise Covid a commencé, voilà 22 mois, j’ai participé à nombres d’activités et de manifestations et je me suis rendu compte, alors que la crise s’amplifie, qu’on a de plus en plus de lois liberticides et que toutes ces actions ne suffisent pas.
Depuis des mois, je me disais, c’est bien de se battre pour la liberté… mais en tant que catholiques, nous avons autre chose. Et au fil des discussions, notamment dans les manifestations où des gens brandissaient un chapelet, d’autres une croix, et aussi avec des clients qui disaient: «maintenant, il n’y a plus que le Ciel pour nous aider», je me suis dit: les gens sont prêts pour la prière.
Il y avait aussi beaucoup de gens totalement désespérés par rapport aux lois qui risquent d’arriver, désespérés au niveau familial, au niveau professionnel, par rapport à la santé. On commençait tous à avoir un peu la peur au ventre.
Et donc, le 29 novembre, j’ai eu l’idée d’initier une croisade du Rosaire en Autriche. Pourquoi? Parce que en tant que catholique, nous avons une arme qui est le Chapelet et qui a fait ses preuves dans l’histoire. On connaît la bataille de Lépante, avec la grande croisade du Rosaire par le pape saint Pie V, avec l’image de Marie des Neiges, on connaît à Vienne le siège par les turcs, on prie le 5 août, fête de Marie des Neige, jusqu’à la victoire le 12 septembre, fête du saint Nom de Marie, où on priait le chapelet jour et nuit dans toutes les églises de Vienne. En même temps il y a le combat militaire et aussi politique à ne pas oublier. Et on a cette arme qui est là et qui, par rapport aux forces en présence, est la seule et définitive qui puisse nous aider.
Donc en Autriche on a pensé ce lundi matin à faire quelque chose de très très simple, que tout le monde peut faire. On n’a pas besoin d’être un intellectuel, on n’a pas besoin d’être organisé, on n’a pas besoin d’avoir l’expérience de l’action, on n’a besoin de rien, si ce n’est d’un chapelet et d’un petit peu de courage. Il s’agit en fait de se lever de son siège, de sortir, d’aller dans l’espace public et de dire le Chapelet autour de chez soi, à pied, au premier calvaire qu’on trouve. Et on dit un Chapelet en public. Et ce chapelet qu’on va dire en public, on va l’inscrire en public, afin que d’autres personnes s’y joignent. C’est donc très simple et tout le monde peut le faire.
On peut être à un, deux, trois, quatre et rapidement on devient vingt, trente, quarante, cinquante, cent, etc., comme ça s’est développé en Autriche. En Autriche en deux jours, alors que j’espérais avoir 200 personnes au bout d’une semaine, en deux jours on avait plus de 35 lieux de prière et déjà plus de 500 personnes qui priaient. On a fait ça le lundi et ça s’est passé le mercredi.
Actuellement, nous sommes à plus de 220 lieux de prière, et environ 3000 person­nes qui prient le Chapelet en public, venant de tous les horizons de l’Eglise catholique. Avec des curés qui m’écrivent et qui m’appellent, pour me dire: «M. Laroche, merci, vous nous avez libéré. Maintenant, on sort et on va prier.»
Ce qui s’est passé en Autriche et en dehors de l’Autriche est tout de même incroyable. Le lendemain, c’était repris en Allemagne, le surlendemain en Suisse. La semaine suivante, c’était repris en Italie, au Tyrol du Sud, en Croatie, en Slovénie, en République Tchèque et au bout de dix jours, au Canada, en Australie. Mais en France pour le moment, il ne se passe rien…!
C’est à vous, Français, de réagir, de vous lever, de sortir de votre fauteuil, de vous organiser, d’aller prier le Chapelet en public.

Pourquoi en public?

Actuellement, nous vivons une crise sociétale. Or la société, c’est ce qui se passe en public. Donc on prie en public, pour protéger ce domaine public. Qu’est-ce que ça va faire? Ça veut dire que ce domaine, une fois qu’on a prié dans notre village, dans notre quartier, qu’il est protégé, alors le diable ne peut plus attaquer. Et nous en dessous de ce bouclier, nous n’avons plus peur, nous reprenons confiance et la peur change de terrain, le diable se venge sur ses serviteurs, ce sont eux qui ont peur.
Je pense que c’est quelque chose qui vient de cette prière: en Autriche nous avons prié la première fois le mercredi 29 novembre au soir. Le jeudi matin, démissionnaient 4 ministres. Je vous dis qu’ils n’ont pas passé la nuit tranquilles. Le surlendemain, démissionnaient encore d’autre ministres et depuis, les lois qu’ils nous assuraient qui seraient passées immédiatement, elles trainent encore et ça n’avance pas.
Donc nous continuons à prier, nous prions toujours plus et nous espérons, confiants en la Sainte Vierge, que nous aurons la victoire.
Donc, prenez votre chapelet, bougez-vous, c’est à vous de le faire, à vous de sortir du fauteuil, de sortir de la bulle des médias qui nous informent sur un tas de choses importantes mais qui ne sont pas strictement nécessaires. On sait maintenant, on a compris que l’on peut arrêter tout ça. Maintenant il faut passer au combat réel, se lever, rejoindre le prochain calvaire; on prévoit un chapelet, on l’inscrit et on en fait la promotion.
Voici un dernier exemple. J’ai une connaissance pas très loin de chez moi, qui m’a dit: «Non, je vais être toute seule à dire le Chapelet, je ne vais connaître personne…» Peu importe, on inscrit quand même le chapelet. Et la première fois, ils étaient 15 et maintenant, ils sont entre trente et trente-cinq à chaque mercredi. Et en plus de ça, dans les villages alentour, il y a 4 ou 5 chapelets. Donc c’est énorme, comment ça se développe. La seule chose qu’on demande, c’est de se lever, de sortir et de prier. Bougez-vous, pour la France… pour l’Eglise, pour la liberté, pour qu’on reprenne confiance et qu’on ait enfin la paix dans cette histoire qui n’en finit plus. Merci.

Louis-Pierre Laroche
https://www.youtube.com/watch?v=bXNH4nr4q-g

 

La France prie. Group Help

 

Voici la carte qui recense tous les chapelets qui ont été annoncés:
https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=1RRHCUPF7ygW2cj4tRMbiKwSC9tAxXyXS

Si vous ne trouvez rien sur la carte à côté de chez vous, c’est à vous de l’organiser pour mercredi prochain!
Pour ajouter ou modifier votre chapelet du mercredi, utilisez ce formulaire:
https://forms.gle/2VbxqYAATKeK7oKG9

Pour ajouter ou modifier un chapelet pour un autre jour de la semaine:
https://forms.gle/ERd7noKgS8apHk2q7
Ensuite vous pouvez poster votre annonce dans ce groupe avec: Code postal, ville, date et heure et le lieu précis.

Seuls les lieux enregistrés via les formulaires seront ajoutés à la carte.
Découvrez l’initiative et faites-la connaître grâce au site web www.lafranceprie.org

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