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Ne jugez pas pour ne pas être jugés

Sulema

Jésus, le 3 décembre 2021
Paix à vous, chers enfants! Voici que je viens éclairer les yeux de mes serviteurs. Je viens vous donner la Lumière, car bientôt vous allez vivre ce grand Evénement du dernier Acte de la miséricorde de Dieu le Père. Je veux que vous soyez prêts le moment venu. Je ne veux pas vous voir souffrir mes chers enfants que j’aime tant. J’ai entendu le cri de vos cœurs et quand un pauvre crie, le Seigneur l’entend, donc me voici.
Vous êtes dans le temps de l’Avent, le temps qui vous prépare à commémorer le grand mystère de l’Incarnation du Fils de Dieu, Dieu fait homme dans le Nouveau-Né de la crèche. Comme je voudrais que le cœur de chacun de vous soit la crèche où ma sainte Mère pourrait me déposer en cette nuit si froide de la perte de la foi.
Et pour vous préparer, je dois vous dire ceci: c’est la miséricorde que je veux et non les sacrifices.
C’est par amour que je viens vous mettre en garde contre vous-mêmes, soyez vigilants, car, en ce moment, le diable veut détruire votre âme, il veut que mes enfants perdent la Vie éternelle.
Souvenez-vous, que Yahvé votre Père reprend celui qu’il aime, comme un père le fils qu’il chérit.
Mes chers enfants, ne méprisez pas la correction du Seigneur et ne vous découragez pas quand il vous reprend. Car celui qui aime le Seigneur, il le corrige. C’est en fils que Dieu vous traite.
Ne jugez pas pour ne pas être jugés. En ces temps que vous vivez, il est si facile de juger, de critiquer, je dirais même que c’est une habitude de porter des jugements. Vous pensez que c’est normal de juger, de critiquer les autres, mais vous avez oublié que Dieu seul connaît le fond des cœurs, que Dieu le Père ne juge personne; il a donné au Fils le pouvoir d’exercer le jugement.
C’est moi, Jésus, le Fils de Dieu le Père, le seul qui peut juger, moi le Juge Suprême.
Alors, mes enfants, cessez de vous juger, de vous critiquer, de vous détruire. Je suis venu pour vous sauver, non pour vous juger.
Au soir de votre vie, c’est vous-mêmes qui vous jugerez selon les œuvres que vous aurez faites en bien ou en mal et vous comprendrez que personne n’avait le droit de juger, de critiquer son prochain, mais il sera trop tard pour réparer le mal qui aura été fait.
C’est pour cela qu’aujourd’hui je viens vous demander de faire attention de ne pas juger pour ne pas devenir des juges, car chaque geste, chaque parole, chaque action, chaque regard est suivi d’une conséquence, bonne ou mauvaise. N’allez pas croire que c’est impossible.
Plus vous allez connaître votre Père, votre Dieu, plus vous l’aimerez, vous ferez tout pour ne plus l’offenser, pour ne plus lui faire de peine, vous allez voir vos frères et vos sœurs avec un regard d’amour, de miséricorde et à ce moment-là, la crainte révérencielle va grandir dans votre cœur.
Revenez à la Grâce, aimez votre Père en esprit et en vérité, ouvrez votre cœur pour accueillir l’Amour trinitaire, pour que vous puissiez vivre en plénitude le Commandement que je vous ai laissé: «Aimez-vous les uns les autres, comme moi, je vous ai aimés.»
C’est par amour que je viens vous mettre en garde contre vous-mêmes, cessez de vous juger, de vous critiquer, cherchez le bien en tout et partout.
L’Amour, mes enfants, ne s’impose pas. Dieu ne s’impose pas! Qui êtes-vous pour vouloir vous imposer aux autres? Faites aux autres ce que vous voulez qu’ils vous fassent, ainsi les autres reconnaîtront que vous êtes mes disciples.
Vous êtes des frères et sœurs d’une même famille, la grande famille des enfants de Dieu; soyez plus charitables, plus patients et plus compatissants pour que la paix et l’harmonie règnent sur cette terre qui meurt par manque d’amour.
Oui, c’est la miséricorde que je veux et non les sacrifices.
Merci, mes chers enfants, de prendre le temps de réfléchir à mes Paroles avant qu’il ne soit trop tard.
L’Amour vous a parlé… l’Amour vous laisse la Paix… l’Amour vous bénit par les mains bénies de mon cher fils, mon prêtre que j’aime tant.

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