Le confort urinaire c’est Uro-Pax
Parvis Santé
La connaissance du système urinaire
Les infections urinaires proviennent d’une prolifération anormale de germes infectieux qui se développent dans le système urinaire comprenant les reins, les uretères, la vessie et l’urètre.
Les reins améliorent la filtration du sang et permettent l’élimination des déchets solubles comme l’urée; les uretères transportent l’urine des reins vers la vessie; la vessie agit en tant que réservoir d’urine et l’urètre permet son évacuation à l’extérieur du corps.
Les bactéries sont de loin les micro-organismes infectants les plus fréquents; mais les levures, les champignons et les virus peuvent également produire des troubles urinaires. Les femmes sont plus sujettes aux infections urinaires que les hommes. Cela s’explique par l’anatomie du système urinaire féminin, par son urètre court et par la proximité de l’anus, ce qui facilite la contamination par les bactéries d’origine fécale remontant de la vessie (cystite) vers les reins (néphrite). Les jeunes hommes sont peu touchés par ces infections mais les hommes de 50 ans et plus atteints de troubles prostatiques sont souvent plus concernés.
Les types d’infections urinaires
Il y a trois sortes d’infections urinaires selon la localisation de l’infection:
– La cystite est une inflammation de la vessie et des voies adjacentes. Elle est souvent due à la prolifération de bactéries intestinales de type Escherichia coli d’origine anale. Les bactéries passent de la région vulvaire à la vessie en remontant l’urètre. Tout ce qui gêne la vidange de la vessie augmente le risque de cystite qui s’accompagne normalement d’une inflammation de l’urètre (urétrite) et souvent du vagin (vaginite).
– L’urétrite est une inflammation de l’urètre pouvant être provoquée par divers germes infectieux en particulier des genres Chlamydia et Gonococcus. Il s’agit d’agents transmissibles sexuellement souvent présents chez l’homme.
– La pyélonéphrite se caractérise par l’association d’une néphrite interstitielle microbienne, d’une inflammation du bassinet et d’une infection urinaire. Il s’agit souvent d’une complication de cystite non traitée ou mal traitée qui permet la migration des bactéries de la vessie vers les reins.
Les signes évidents d’une infection urinaire
Une infection urinaire se caractérise par les symptômes suivants:
Des démangeaisons dans le vagin; des douleurs ou des brûlures au moment d’uriner; une fréquence anormale des mictions durant le jour et la nuit, un sentiment persistant d’avoir besoin d’uriner, des urines troubles pouvant dégager une odeur désagréable, une pression dans le bas-ventre et parfois de l’hématurie (sang dans les urines)
Chez les enfants, une infection urinaire se traduit par de l’énurésie (pipi au lit) et par des plaintes au moment d’uriner. En cas de douleurs lombaires, de frissons, de fièvres, de nausées ou de vomissements, il peut s’agir d’une néphrite (infection rénale) et il est important de consulter un médecin qui prescrira une antibiothérapie chimique ou à base d’huiles essentielles.
Pour éviter toute récidive ou mycose, il convient de régénérer la microflore urogénitale par la prise de Myriaflor (en vente aux Editions du Parvis).
Les personnes à risque
Parmi les personnes risquant le plus une infection urinaire, il y a:
– Les personnes risquant une infection urinaire sont surtout les femmes qui sont très actives sexuellement (le taux d’infection est 50 fois plus élevé que chez les hommes).
– Les femmes enceintes vu la pression du bébé sur la vessie et vu les changements hormonaux inhérents à la grossesse.
– Les femmes ménopausées dont la baisse d’œstrogènes favorise la vaginite.
– Les hommes atteints d’une prostatite ou d’une hypertrophie de la prostate qui ont une compression de l’urètre ce qui ralentit l’évacuation d’urine.
– Les diabétiques en raison de leur sensibilité accrue aux infections et du taux élevé de sucre dans l’urine qui prédispose aux infections microbiennes.
– Les personnes alitées qui ont une sonde pour uriner. Les germes se développent à la surface de la sonde.
– Les personnes ayant une anomalie structurale des voies urinaires ou souffrant de calculs rénaux.
Les moyens de réduire les infections urinaires
L’urine est normalement stérile. Elle contient 96% d’eau, de sels minéraux et des composés organiques. Le système urinaire possède déjà de nombreuses défenses naturelles contre les infections. Ses moyens de défense sont:
– Le flot urinaire expulse les bactéries et rend plus difficile leur ascension vers la vessie et les reins.
– L’acidité urinaire inhibe la croissance des bactéries pathogènes mais pas celle des levures et des champignons.
– La morphologie des uretères et de la vessie prévient le retour de l’urine vers les reins.
– La paroi de la vessie contient des cellules immunitaires et aussi des substances inhibitrices des bactéries.
On préviendra aussi les risques d’infection urinaire par des gestes d’hygiène:
– On éliminera les déchets métaboliques de l’organisme en buvant 1,5 litre d’eau pure par jour en petites quantités réparties au cours du jour et si possible 10 minutes avant les repas et entre les repas.
– Chez l’homme, les sécrétions prostatiques contiennent des substances inhibitrices des bactéries.
– Il est mieux d’uriner souvent pour éviter la stagnation des urines dans la vessie.
– Il est important d’uriner après chaque rapport sexuel. Par forte chaleur, des sous-vêtements trop moulants favorisent la transpiration et la macération qui peuvent entraîner une infection urinaire. Les sous-vêtements en coton facilitent la respiration de la peau et limitent la transpiration.
– La toilette intime devrait se limiter à une séance par jour et surtout avant et après les rapport sexuels. Il faut utiliser un savon respectant le PH vaginal pour préserver la microflore vaginale.
– Après avoir uriné ou émis des selles, les femmes doivent s’essuyer d’avant en arrière pour éviter de déplacer les bactéries fécales vers les voies urogénitales.
La richesse de l’Uro-Pax
Uro-Pax contient du D-mannose issu de l’hydrolysat de hêtre, de l’extrait d’hibiscus et de bouleau, de l’extrait de canneberge et de l’extrait d’écorce de cannelle.
Le D-mannose est un sucre qui n’est pas converti en glycogène, ni stocké dans le foie et dont une grande partie est excrétée avec l’urine. Ce D-mannose est fabriqué par notre organisme et il est présent surtout dans les parois de la vessie. Le D-mannose pris oralement détourne les germes contaminants des parois du tractus urinaire afin de les éliminer durant la miction.
La canneberge est le fruit d’un arbrisseau nord américain et la consommation de 36 mg de proanthocyanidines (PAC) antioxydants puissants, issus de jus de canneberge, contribue à diminuer la fixation de bactéries type Escherichia coli sur les parois des voies urinaires.
L’hibiscus présent dans Uro-Pax contient des polyphénols (antioxydants) qui ont un pouvoir antimicrobien agissant sur les bactéries comme Escherichia coli, staphylocoque doré, le bacille subtile et même contre le Candida albican qui avec l’Escherichia coli représentent 90% des cas de cystites. L’hibiscus diminue les risques de contamination bacillaire et stimule les fonctions d’élimination de l’organisme.
L’extrait de cannelle doué de propriétés anti-infectieuses, anti-oxydantes et anti-inflammatoires a pour fonction de potentialiser les propriétés inhibitrices des germes pathogènes de la canneberge et de l’hibiscus.
Dès les premiers symptômes, on prendra 3 gélules d’Uro-Pax le matin au lever et trois au coucher dans un grand verre d’eau.
La phase intensive est de 7 jours et celle d’entretien est de 14 jours avec 2 gélules, le matin au lever et le soir au coucher. On boira 1,5 litre d’eau minérale par jour pour faciliter le drainage urinaire.
Si les troubles réapparaissent, on prendra 4 gélules par jour au lever et au coucher pendant 7 jours chaque mois.
Si on a subi une antibiothérapie, on prendra Uro-Pax pendant le traitement puis pour régénérer la flore intestinale, on prendra un sachet de Myriaflor chaque matin pendant un mois.
Après un rapport sexuel à risque, prendre 2 à 4 gélules d’Uro-Pax dans les heures suivantes et pendant 3 jours.
Si vous êtes allergiques aux fruits rouges, ne prenez pas d’Uro-Pax et si vous prenez des anticoagulants, évitez les prises d’Uro-Pax à des doses élevées et consultez votre médecin. En cas de grossesse, évitez de prendre Uro-Pax pendant les 3 premières semaines (risque abortif à doses élevées) et réduisez la dose à 3 gélules quotidiennes au cours des 3 premiers mois.
Uro-Pax est un complément alimentaire protecteur de la microflore des voies urinaires qui contiennent des bactéries pouvant s’enflammer lors d’un déséquilibre bactérien. Boire des tisanes d’hibiscus, de lavande, de thym et de sauge fréquemment, c’est protéger ses reins et sa vessie et s’assurer un tractus urinaire sain et dépourvu de bactéries nocives pouvant altérer notre urine et nous rendre une vie parfois impossible par de multiples infections à récidive.
Mangez sainement, évitez les boissons alcoolisées, les cafés fréquents et les rapports sexuels à risque. Ainsi, vous vous protègerez des maladies urinaires récurrentes aux conséquences multiples et souvent préjudiciables à votre santé pour longtemps.
Père François Zannini, naturopathe