Gardez confiance en Celui qui sauve
Fille du Soleil
27 décembre 2011
Message pour la session de Donrémy début janvier 2012.
Je vous salue, enfants bénis du Père.
Je ne viens pas vous rabaisser mais vous élever jusqu’en mes demeures. Gardez confiance en Celui qui sauve, le monde passe par les douleurs de l’enfantement, suppliez le Dieu des victoires de vous donner la force de supporter vos épreuves pendant ce dur combat pour la liberté. Mes amis, ce qui doit arriver arrivera, ne ressassez pas le mal, entretenez des pensées de lumière… Je vous invite à ouvrir votre cœur à mon Esprit Saint qui peut tout et à aller toujours de l’avant sans vous arrêter aux aléas de la vie. Redoublez de vigilance, votre combat est le nôtre. Dans le giron de ma sainte Mère vous ne manquerez de rien, prenez conscience de l’enjeu final.
Je souffle sur vous un vent de tendresse, je vous aime malgré vos faiblesses, vivez chaque jour que je vous donne comme s’il était celui de nos retrouvailles. J’ai un plan pour chacun d’entre vous, acceptez ce que je vous donne, n’en demandez pas plus. Ayez confiance en moi, croyez que Celui qui vous aime ne vous abandonnera jamais.
Je vous bénis toutes et tous ainsi que vos familles.
18 décembre 2012
Devant le Saint-Sacrement exposé. Votre silence me séduit. Je me complais dans une âme qui cherche à me plaire.
… SILENCE… SILENCE…
Soyez des êtres de SILENCE et ma Paix fleurira en vous.
Ne suis-je pas celui à qui tout pouvoir a été donné sur terre comme au Ciel?
31 janvier 2013
En dehors de moi, nul ne peut trouver le véritable bonheur, je suis la route à suivre, votre salut. L’homme ne se soucie guère de sa prochaine vie dans l’au-delà. Le temps sur terre est court et précieux et doit être vécu en conformité avec mon Evangile; que de souffrances seraient épargnées si l’homme me faisait confiance… Mes lois ont été données pour le bien de tous, heureux qui suit mes décrets et préceptes. Plus un pays se détourne de mes lois, plus il devra faire face à ce qu’il s’est façonné lui-même, il sera rétribué à chacun selon ses mérites et… à mes oreilles, monteront encore ces lamentations: «Si Dieu existait, tout ceci ou cela ne serait». Pauvre monde enténébré, s’il voyait ce qui le pousse à agir à son détriment, il en mourrait de frayeur. Le mal est à son apogée, il n’épargne rien ni personne, devrais-je m’en contenter? Ne suis-je pas celui à qui tout pouvoir a été donné sur terre comme au ciel? L’homme de ce temps doit prendre position: rester dans les ténèbres de la mort ou appliquer mes lois qui ne changent pas au gré du vent. Il faut savoir choisir: accepter mon pardon pour vos fautes ou le refuser, faire confiance à votre Sauveur qui veut faire de vous des êtres exemplaires ou suivre celui qui désire votre mort éternelle. L’enjeu est de taille, je tiens à chaque âme comme à la prunelle de mes yeux mais elle est libre de son choix: m’aimer ou me rejeter; nul ne peut dire qu’il m’aime en restant attaché à tout ce qui est contraire à ma volonté. Le cœur de l’homme vacille entre le bien et le mal, je suis un Dieu jaloux de mes créatures, je veux que l’on me respecte et être aimé par-dessus tout, il en va de votre survie. Que ce monde fasse appel à moi, qu’il se détourne de ses péchés et je l’écouterai, je répandrai ma miséricorde sur ceux qui me cherchent et me prouvent leur amour. Tout deviendrait si facile si l’homme prenait conscience de ces réalités.
Mes enfants, ne jouez pas avec le feu, le temps passe vite, nul ne sait le jour ni l’heure du face à face avec son Créateur…
VEILLEZ ET PRIEZ… SOYEZ PRÊTS!
Je suis le Souverain Bien qui se languit de votre «OUI» à ma Volonté.
Avec moi, vous n’aurez rien à perdre mais tout à gagner
24 janvier 2014
Ne craignez rien! Le Roi des rois vient prendre sa revanche. Les os desséchés reprendront vie, le Seigneur des Victoires n’a pas dit son dernier mot.
Louange et Gloire à toi, Seigneur Jésus, de nous aimer au point de ne pas vouloir nous laisser dans l’état où nous sommes.
Tu l’as dit!
Je viens rétablir ma Royauté en ce monde, rien ne m’en empêchera, j’abaisserai l’orgueil des orgueilleux, ma justice ne leur fera pas défaut. Aujourd’hui, j’appelle mes créatures à un repentir profond. Rien de malsain ne subsistera, ma tendresse s’étendra d’âge en âge, je suis toujours Dieu de miséricorde et de paix. Petits, que craignez-vous? Avec moi, vous n’aurez rien à perdre mais tout à gagner, j’offre mon Héritage à qui me cherche et me trouve. Venez vous rassasier de mon Corps et de mon Sang1, prémices de vie éternelle à mes côtés; au son de la cloche2, venez me retrouver là où je suis réellement vivant et présent… Que puis-je vous offrir de plus? Ne rejetez pas le Souverain Bien; par mon Eucharistie, il me plaît de venir siéger en vous et de faire de votre trône, mon trône… Que celui qui a des oreilles entende. Je Suis.
«Je ne viens pas vous rabaisser mais vous élever» T. 8
Notes:
1. La sainte Communion sous les deux espèces réalise plus pleinement sa forme de signe; cependant, grâce à la présence sacramentelle du Christ sous chacune des deux espèces, la communion à la seule espèce du pain permet de recevoir tout le fruit de grâce de l’Eucharistie. CEC, § 1390.
2. Des églises.
