La miséricorde de l’Enfant Jésus ou croire l’incroyable!
Nouvelles de Medjugorje
En novembre 2015, le mois dernier, j’étais en Malaisie pour y transmettre les messages. Près de la ville de Kota Kinabalu, un des prêtres qui m’avaient invitée me raconta l’extraordinaire expérience qu’il vit avec l’Enfant Jésus dans sa paroisse depuis 2013. Comme Noël arrive à grands pas, son témoignage ne peut que nous aider à vénérer l’Enfant-Dieu qui se fait si proche, si accessible, si tangible. Le Père Nick Stephen est tombé «en amour» avec l’Enfant Jésus. Il avait acquis une belle statue du Nouveau-Né comme on en trouve en Espagne et il eut l’idée de la faire passer de famille en famille tout au long de l’année. Son but était de laisser l’Enfant naître au cœur de ces familles. Là-bas, la plupart des familles sont encore unies et ont beaucoup d’enfants. Dès les premières semaines, les bénédictions et miracles ont commencé à tomber! Les familles étaient si nombreuses à vouloir l’Enfant chez elles qu’elles ne pouvaient le garder qu’une heure avant de devoir s’en détacher. Car dans son grand amour pour ces familles, l’Enfant multipliait ses merveilles. Quelques exemples m’ont frappée:
De Laurence Imbungan: «Ma petite fille Jaklyne, 2 ans, souffrait d’un grave infection pulmonaire. Comme le problème ne s’arrangeait pas, elle devait aller à l’hôpital. Mais ce jour-là, notre maison était la 1ère du village de Tuaran à accueillir l’Enfant Jésus et l’ambiance était à la joie, avec chants traditionnels et musique. Jaklyne réclamait toujours une poupée, mais n’était jamais satisfaite de celles qu’elle recevait. Toutefois, à l’arrivée de l’Enfant Jésus, elle manifesta beaucoup de joie, comme si elle trouvait enfin ce qu’elle désirait. Lorsque nous avons déposé l’Enfant Jésus sur notre petit autel et commencé à prier, elle s’est mise à vomir abondamment et ce qui sortait de sa bouche était horrible. Le lendemain, à l’hôpital, le médecin l’examina et déclara que toute infection avait disparu de ses poumons. Depuis ce jour, dans ma famille, nous nous souvenons de l’Enfant Jésus et comment il nous a apporté la guérison. Nous rendons grâce à Dieu!»
De Molin, village de Tangilan: «Mon désir était de voir les trois familles qui refusaient Dieu et ne pratiquaient pas se laisser toucher par l’Enfant Jésus. Leur logement était si pauvre qu’elles avaient honte d’y accueillir qui que ce soit, surtout que la pluie tombait dans la maison par le toit. Mais voyant l’enthousiasme des gens qui accueillaient l’Enfant, ces familles ont aussi accepté sa visite. Elles ont prié un bon moment dans la maison avec Lui, et Dieu les a exaucées: le gouvernement leur a donné une nouvelle maison!
Dans un autre village, un jeune garçon gisait sur un lit, complètement paralysé. Lorsque la statue de l’Enfant Jésus est arrivée dans sa maison, il a écarquillé les yeux de bonheur, il s’est soudain redressé comme pour aller l’étreindre, il était guéri de sa paralysie! Désormais il vit normalement.
Un couple ne pratiquait pas depuis de longues années, surtout l’homme qui tenait à exprimer haut et fort son athéisme. On leur a proposé la visite de l’Enfant et ils ont accepté sans savoir pourquoi. Lorsque l’homme reçut la statue dans ses bras un peu à contre-cœur, il entendit l’Enfant lui parler et lui dire: “Alors, maintenant, tu crois?” Il fondit en larmes et depuis lors il est devenu avec son épouse un fervent pilier de sa paroisse.
Une mère de famille toute simple reçut l’Enfant chez elle. Elle voulut le traiter comme un bébé normal et se mit à le laver. Après le bain, l’Enfant “sentait le bébé” comme s’il était vivant. Certaines fois, il cligne des yeux et bouge ses petites mains...
Il serait trop long de tout raconter. Mais le plus touchant est la foi simple de ces villageois, et la façon si sincère dont ils vénèrent Dieu. Le Père Nick a composé une petite liturgie avec formule d’accueil, hymnes, etc. Les fruits spirituels sont abondants: la joie qui revient dans la maison, les pardons échangés et les réconciliations, l’amour qui renaît entre les membres, le retour aux sacrements, surtout la confession... Les enfants et les jeunes surtout sont touchés, ils investissent tout leur cœur pour aider cette statue pèlerine à entrer dans les villages et les foyers.
Et nous, dans notre Occident si matérialisé, si souvent anxieux et triste, qu’allons-nous faire pour accueillir l’Enfant Jésus à Noël1? Il arrive chargé de présents et de bénédictions, nous en avons tant besoin! Quel bonheur de lui faire une place d’honneur! Son innocence est la meilleure arme contre le mal qui ronge nos familles et notre société, elle fait si peur à Satan! “Je suis votre paix, vivez mes commandements!” a-t-il dit à Noël 2012, alors qu’il apparaissait comme nouveau-né dans les bras de sa Mère...
Cher Enfant Jésus, c’est bientôt ton anniversaire, alors je t’en prie, inspire-nous le cadeau que tu rêves de recevoir de notre part!
Chers lecteurs, ce Noël sera le plus beau de votre vie, car vous mettrez Jésus à la première place!
Notre-Damede Guadalupe
L’image représentée sur le Tilma est un miracle constant! Un musicien de Floride (USA) s’est aperçu qu’il pouvait capter sur son ordinateur la mélodie exprimée par la position des étoiles sur le manteau de la Vierge. Une mélodie céleste de toute beauté! (Les étoiles de ce manteau donnent aussi la description du ciel de ce jour-là, mais vu d’en-haut et non de la terre)
Voir, écouter sur: www.youtube.com/watch?v=6pfLC44qZ84
C’est durant la nuit de Noël que le plus grand nombre d’âmes du purgatoire est délivré, et non à la Toussaint. Ne les oublions pas lors de nos célébrations familiales! Elles intercèderont pour nous.
Sœur Emmanuel
12.12.2015
www.enfantsdemedjugorje.fr
Notes:
1. La Vierge nous invite à préparer notre crèche dès le début de l’Avent, afin de mieux entrer dans l’attente de l’Enfant Jésus.
Une idée qui branche bien les enfants: tapisser la mangeoire de Jésus de petits brins de paille (ou de petits billets), et lui préparer un lit d’amour. Car chaque brin de paille représente une prière qu’ils ont dite ou un petit sacrifice qu’ils ont offert. Sur chaque papier déposé, ils écrivent une prière ou un sacrifice.