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Témoignages

San Damiano

Je reçois tant de grâces de Notre-Dame de San Damiano depuis 1975…
Au début de cette année 2012 j’ai été guérie de ma main gauche après y avoir appliqué un petit mouchoir béni.
Elle était brusquement devenue toute noire, et la couleur spectaculaire a intrigué tout mon entourage. J’ai vu deux médecins dont l’un très réservé. La pharmacie ne savait que dire et donner comme remède. Personnellement très confiante en Notre-Dame des Roses et son petit mouchoir, tout s’est résorbé en une semaine. Un kyste s’était même formé à la base du pouce et le médecin prévoyait de l’extirper prochainement. «Mais je ne comprend pas, me dit-il, qu’est-ce que c’est que cette affaire?» Moi je savais avec certitude que Marie était le vrai médecin; mon mari ayant été guéri d’un décollement de rétine en 1978, la veille de son opération. Donc je peux poursuivre ma tâche de maîtresse de maison. Merci, merci!
Je ne veux pas énumérer toutes les grâces reçues depuis quarante ans dans ce petit village où je suis allée plus de cent fois vers le Vierge. Maintenant, c’est elle qui vient vers moi, je suis comblée. Merci Notre-Dame des Roses! Merci!
A San Damiano, le dimanche 6 mai 2012 à 6h20, nous étions un petit groupe à voir une hostie dans le ciel.
Nous avons d’abord vu le beau soleil un peu bas, que l’on pouvait fixer. Puis le soleil a disparu pour laisser place à une hostie entourée de rouge. Cette hostie faisait des bonds dans le ciel. A côté de l’hostie, un crucifix est apparu. Deux personnes éloignées du groupe ne percevaient que le soleil. Elles se sont rapprochées de nous et ont pu voir l’hostie. Tout joyeux, nous avons chanté et prié…MRS.

Agé de 77 ans, mon mari, bricoleur actif, a successivement développé en mars 2012 des douleurs aux hanches, puis aux épaules, aux jambes, au dos, devenant chaque jour plus fatigué. Le 19 mars, nous avons encore pu nous rendre au sanctuaire Saint-Joseph d’Espaly, près du Puy-en-Velay.
Le médecin lui a prescrit des médicaments et j’y ai ajouté de l’homéopathie.
Fin avril, je devais l’aider à se lever, se déplacer, se coucher et dans le lit, il ne pouvait pas même soulever ses draps et couvertures.
Mes enfants et petits-enfants priaient pour sa guérison. Très souvent mon mari me disait: «Je vois que je baisse de plus en plus.» Et je lui répondais: «tu sais bien que saint Joseph te guérira.»
En 2011, une amie de San Damiano m’avait fait parvenir le livret «Le Manteau sacré en l’honneur de saint Joseph». Et depuis, je n’ai jamais cesser de le prier (15-20 min par jour durant 30 jours).
Fin mars, j’ai proposé à mon mari de prier ce Manteau avec moi. Le deuxième manteau était commencé, quand le 2 mai, mon mari s’est confessé et a reçu le sacrement des malades. Le vendredi 4 mai, épuisé à l’extrême, je lui donnais moi-même à manger.
Une de nos filles et ses trois enfants étaient à SD le samedi 5 mai, pour le rassemblement international de la jeunesse et des familles.
Alors que la messe de 8h30 commençait à SD, l’infirmière a demandé une ambulance pour les urgences. Il a été admis à 9h50. Vers 11heures, heure de prière à SD, il m’a déclaré qu’il n’avait plus mal et qu’il allait bien. Comme il avait soif, je lui ai donné de l’eau miraculeuse de Notre-Dame des Roses.
En nous unissant aux prières officielles, nous avons continué notre Manteau de saint Joseph et prié le Chapelet. L’après-midi, il a été admis en rhumatologie. Le 7 mai, le médecin nous a expliqué qu’il avait une pseudo-polyarthrite rhumatoïde et il a prescrit de la cortisone. Sorti le 11 mai, huit jours plus tard, mon mari bêchait son jardin.
Saint Joseph, a voulu associer Notre-Dame des Roses pour la guérison de mon mari, puisque les grandes douleurs et l’extrême fatigue ont disparu le samedi 5 mai.
Merci à saint Joseph, à Notre-Dame des Roses et à l’Enfant Jésus de Prague que nous honorons chez nous depuis plus de quarante ans.CC.
C’était il y a une trentaine d’années. Nous avions l’habitude mon épouse et nos trois enfants en bas âge de nous rendre en car, en pèlerinage à San Damiano depuis Montpellier les premiers samedis du mois. Un jour – je n’avais rien demandé – au cours de la messe à l’église du village dans la file pour la communion, j’ai ressenti un puissant parfum de roses. J’ai demandé à mon épouse devant moi si elle sentait, elle me répondit non. Ce parfum n’était pas terrestre et autour de moi les fidèles ne semblaient pas troublés. J’ai dit dans mon cœur: «Mon Dieu si cela est vrai que cela s’arrête» et cela s’est arrêté; puis, «mon Dieu que cela reprenne et cela a repris!» J’ai fais cette prière de demande à 3 reprises avant de recevoir la communion. Puis en tournant sur ma gauche je suis passé sous une statue, j’ai à nouveau ressenti ce parfum. Là, je me suis mis à pleurer de grosses larmes, moi qui ne pleurais jamais!
Au retour dans le car j’ai témoigné de cette expérience. Depuis, nous avons intégré un groupe qui prie le Rosaire une fois par mois. Nous sommes trois familles et tournons les uns chez les autres. Depuis tout jeune j’ai une préférence spéciale pour le Sacré-Cœur. La vie ne nous a pas épargné les épreuves mais nous avons toujours eu cette protection divine qui nous a permis de les surmonter. Merci à Notre-Dame des Roses A.G. France

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