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La Parole - volume 2

Buttini Giuliana

L’œuvre que le Ciel a laissé à travers les écrits de Giuliana Buttini est considérable. Après Ma vie à Nazareth, Les dictées de l’Ange, et La Parole 1, le Parvis vient de publier La Parole volume 2.
Nous y retrouvons le Jésus des Evangiles, intime et persuasif, simple et aimant, «Maître et Seigneur»…
Manifestement, nous vérifions que nos pensées ne sont pas ses pensées! Conditionnés par une société matérialiste et pauvres pécheurs, nous nous laissons emporter par la recherche de l’avoir, du bien-être, du paraître… des voies qui ne sont pas ses voies.
Jésus, lui, propose toujours à ses amis un chemin étroit, qui répugne à la «chair», mais qui conduit au Père et prépare une éternité de bonheur et de gloire. En ce mois où nous fêtons la Croix Glorieuse, voici tiré de ce nouveau volume, deux encouragements de Jésus pour parvenir à notre tour à «accepter ce qui s’abat sur nous comme un bien spirituel accordé par notre Père du Ciel, pour notre futur éternel»: transformer petites et grandes souffrances en croix glorieuses! Oui, La Parole 2 est une route de lumière; elle fortifie l’espérance et stimule la charité.

Si vous savez m’aimer, vous savez accepter au point de connaître la joie dans la douleur

6 mai 1976
Mes créatures, vous toutes avez, avez eu ou aurez la douleur, dans des mesures ou manières diverses au cours de vos années terrestres. Elles vous sont accordées en votre temps, pour votre tâche, par notre Père qui est aux Cieux et partout.
Ce mystère vous paraît injustice quand il s’abat sur l’un de vous, mais il est un bien pour votre futur éternel.
Moi, envoyé par notre Père sur terre pour apporter la Parole, l’amour, l’espérance et la rédemption, moi, Jésus, en vérité, je vous dis que vous devez souffrir avec moi, vous qui êtes moi.
Moi, j’ai connu toutes les douleurs de l’humanité dans le temps de ma Passion: douleur physique, flagellation, épines, meurtrissure de la chair; chaque partie de mon corps a connu une douleur unique et différente de celle des autres parties de mon corps. Douleur lancinante de l’âme quand je voyais chaque créature que j’allais perdre pour toujours, par sa volonté et non par la mienne! C’était une douleur spirituelle semblable à la vôtre quand vous perdez ceux qui vous quittent, perte que vous pensez être éternelle et qui meurtrit votre âme.
Douleur multipliée! Car vous pleurez l’un après l’autre ceux que vous aimez et que vous ne perdez pas pour toujours, mais seulement en apparence, pour un laps de temps qui a une fin, jusqu’à votre non-temps où vous le rejoindrez.
Moi, je savais que ceux qui ne me suivraient pas, qui me renieraient, allaient mourir pour toujours, et être vraiment morts pour moi. La douleur a été grande pour moi. La peine de l’homme, le dur labeur, parfois la peine de vivre sur terre, sont symbolisés par le portement de la croix. Elle a pesé sur moi sur le chemin du Calvaire. Elle m’a blessé et, sous son poids, je suis tombé pour vous, pour vous!
Alors, acceptez les douleurs, les fardeaux, les peines en pensant à l’aide que vous m’avez apportée.
En ce temps-là, vous n’étiez pas là avec moi, pourtant, moi je vous ressentais près de moi pour rendre plus légers, fardeau, douleur, meurtrissure par vos douleurs futures, vos peines futures, vos meurtrissures futures.
Acceptez ce qui vous arrive et sachez, en mon Nom, au Nom de mon Père, de l’Esprit d’Amour que votre douleur est la mienne! Si vous savez m’aimer, vous saurez accepter au point de connaître la joie dans la douleur.

Vous vous êtes tellement éloignés de moi que vous ne savez plus voir la réalité

8 mai 1976
Mes créatures, vous vous êtes tellement éloignées de moi que vous ne savez plus voir la réalité. Alors, vous voyez ce qui arrive et vous le considérez comme négation de mon existence. Devant votre douleur et celle des autres, vous pensez que si j’existais vraiment je ne permettrais pas la douleur. C’est pourquoi, je vous dis en vérité, moi, Jésus, Fils de Dieu et Dieu dans la Trinité, venu sur terre pour vous montrer que la douleur doit exister: je ne vous ai jamais promis la joie terrestre, mais la gloire des Cieux.
Ainsi je vous dis en vérité que j’existe aussi pour éprouver l’humanité, pour qu’elle revienne à moi. Et souvent je l’éprouve dans les meilleurs, ceux qui m’aident dans ma douleur et je leur ai dit et je leur dis et dirai: «Bienheureux!» Et vous ne le comprenez pas, parce que vous vous êtes éloignés de moi et vous êtes matérialistes.
Vous voulez le bonheur sur terre! Alors vous n’êtes pas de vrais chrétiens, car le vrai chrétien se voue au martyre à cause de ma Croix et de sa foi!
Votre curiosité au sujet des mystères qui vous dépassent est souvent une manière de chercher à nier ce que nous sommes, Nous Trinité, et souvent vous cherchez à me voir comme un homme tel que vous. J’ai été homme comme vous, pour vous, mais j’ai été et je suis Divin.
Vous pouvez comprendre cette Divinité si vous le voulez, si votre âme est ouverte sur mon Ciel. Alors ma pensée pénétrera la vôtre. Mais vous cherchez à annuler en moi toute Divinité; certains parmi vous me disent prophète… Et votre curiosité au sujet des mystères, voulus par mon Père, sans lesquels votre foi n’aurait pas de mérites, est presque toujours volonté de m’éloigner de vos âmes.
Pourtant je Suis Celui qui Suis. J’étais quand personne n’était et je serai quand chacun sera!
Vous voyez l’aspect matériel des choses, vaines et inconsistantes. Vous refusez la douleur et vous oubliez mes promesses qui concernent une vraie vie, non pas l’instant de votre temps terrestre, qui est épreuve, sans commune mesure avec l’éternité. Ce n’est que dans l’éternité que vous verrez la Vérité et comprendrez toute chose. Sachez au moins ceci et souvenez-vous-en: aimez-moi et aimez Celui qui a tout créé et qui est. Aimez Celui qui vous inspire, Celui qui a inondé de lumière les premiers hommes et inonde les derniers. Nous sommes votre lumière, nous sommes cette lumière que j’ai promise; nous sommes votre espérance et ce qui arrive est pour le bien de vos âmes!
Souvent vous ne le comprenez pas, pourtant ce qui arrive a été écrit, mais beaucoup parmi vous ne l’ont jamais lu et ils sont les premiers à être rebelles et à me juger! Je n’ai jamais manqué à mes promesses. Je les tiens toujours. Vous êtes de ceux qui souvent ne tiennent pas compte de ma volonté. Ce témoignage de moi vous parvient à travers une de mes voies. Vous la connaissez! Qu’elle soit pour vous un exemple; suivez-la, écoutez-la. Elle parle en moi et est un exemple pour vous, car elle a compris tout ce que j’essaie de vous faire comprendre maintenant.

 

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