Vierge Immaculée, qui êtes apparue à Bernadette, nous vous confions les enfants et les jeunes, ceux qui sont gravement malades, défavorisés, abusés ou qui subissent les conséquences de situations familiales douloureuses.
Protégez-les!
Faites que nos familles et communautés partagent toujours plus d'affection pour témoigner de l'amour de Dieu. Que notre Eglise soit unie dans la foi!
Ô Marie, nous vous prions pour les personnes malades, âgées ou handicapées surtout quand elles souffrent de solitude. Faites que nous soyons attentifs à elles.
Enseignez-nous à être solidaires de ceux qui sont en difficulté. Que le cri des pauvres soit entendu par tous!
Aidez-nous à croire avec une plus grande confiance, à miser sur le don gratuit, le service, la non-violence et la force de la vérité.
Ô Mère très aimante, encouragez-nous à devenir toujours plus vos enfants, frères et sœurs dans le Christ, pour vivre cette période difficile de l'histoire.
Accueillez toutes nos intentions.
Vierge Immaculée, Mère de Dieu et notre Mère, Notre-Dame de Lourdes priez pour nous.

Chaque jour, une dizaine de chapelet et trois fois l'invocation "Notre-Dame de Lourdes, priez pour nous". Ensuite la prière de la Neuvaine et le Magnificat. Messe et communion le 11 février.

Prière et photo peuvent être commandés à: 63, avenue Denfert-Rochereau – 75014 Paris

Photo: © NDS
 

Les poésies-prières sur la liturgie du dimanche par Franck Widro:

La Parole, la Cité et moi (sur Luc 4, 21-30)
Je chasse Jésus de la Cité, si j’écarte Dieu de mes œuvres,
si je me soumets aux modes du temps, ses faux chef-d’œuvre !
J’accueille la Parole de Dieu, en mon âme ; Elle me rend lumineux ;
Son Esprit est dans mes joies et mes pleurs, Il me rend heureux !

Être un frère universel (sur Luc 4, 21-30)
Ma charité, mon cœur universel, franchit les frontières ;
mon humanité renverse, explose les barrières sociales,
est à l’amour une divine étincelle, une âme altière ;
tout homme mérite une réponse cordiale, une écoute pastorale.

Être apôtre, te convertir (sur Luc 5, 1-11)
Je clame, tel Simon, Maître, je t’entends ; par Lui je jubile,
et lance mon filet dans l’inconnu, confiant ; j’en suis ravi ;
ma parole trouve un écho en toi, peut remuer notre ville,
si j’accepte en nos dialogues d’être changé, d’entrer dans la Vie.

L’Esprit, ta conversion et moi (sur Luc 5, 1-11)
J’ai, comme Simon, le sentiment d’être bien souvent inutile ;
Jésus-Christ m’entend dire : « je prends des frères, cela me ravit » ;
grâce à l’Esprit, je connais les paroles pour t’offrir la Vie,
si déjà j’y entre, suis devenu une âme droite et fertile.