Mon compte


Créer un compte

Vient de paraître

Newsletter

Pour être informé des nouveautés - des offres spéciales - des promotions, inscrivez-vous à notre lettre d'information!

 

 

Facebook

Retrouvez les Editions du Parvis
sur facebook!

Des nouveautés,
des prières de la semaine,
des infos, etc.

Les témoignages

Des pèlerins à San Damiano

Abonnée depuis longtemps à Stella Maris, revue que j’aime et qui est si intéressante, je tiens à relater une grâce reçue récemment.
Je souffrais atrocement d’une périarthrite articulaire à l’épaule droite, ne pouvant plus me servir de mon bras.
Ne plus pouvoir faire le Signe de la Croix était pour moi moralement si douloureux.
Les médicaments n’agissant pas, je prends
un mouchoir béni par Marie à San Damiano il y a longtemps (gardé précieusement comme une relique), je le place sur mon épaule de sorte qu’il puisse rester nuit et jour contre moi.
Après une nuit, surprise extraordinaire: plus de douleurs; je peux faire le Signe de la Croix, prier, adorer, remercier.
Jésus et Marie peuvent tout. Un grand merci à Notre-Dame de San Damiano qui s’est révélée à moi avec tant d’amour.

Mme P. G.,
maman de six enfants.

***

Etant abonnée à Stella Maris, je lis les témoignages de toutes les grâces accordées par Notre-Dame Miraculeuse des Roses. Je désire apporter ma pierre pour la reconnaissance de ce lieu béni, en témoignant de ce qui suit:
En octobre 2002, mon mari et moi quittions la Nouvelle Calédonie pour la France et l’Allemagne où mon mari devait visiter une exposition internationale.
Notre belle-fille attendait un bébé pour fin décembre. Le bébé était gros et se présentait mal. Elle devait donc subir une césarienne un mois avant la date prévue.
Fin novembre, de France nous partons pour quelques jours à San Damiano demander l’aide de Notre-Dame des Roses. Nous nous levions tôt le matin pour le premier Rosaire de 5h00 par un froid intense, assez dur pour nous, gens du Pacifique sud qui sommes habitués à la chaleur. De San Damiano nous nous rendons chez notre fils qui habite Metz. Là, notre fils aîné nous téléphone de Nouméa pour nous annoncer que le bébé s’est retourné et qu’il arrivera à la date prévue.
L’accouchement s’est bien passé, une magnifique petite fille qui se porte à merveille, un bébé souriant, gentil et facile. C’est le bébé de Marie.
Un grand merci à notre Maman du Ciel, qui ne sait rien refuser à ses enfants.

Mme C.A., Nouméa

***

Depuis le début du 3e trimestre 2000 jusqu’à la fin de l’année 2001, mon épouse a été hospitalisée huit fois.
En juin 2001, nous nous trouvions, par une belle journée d’été, sur la terrasse de la maison quand, tout à coup, les paroles de mon épouse devinrent subitement incohérentes, semblables au langage d’un bébé; je la fis se lever mais sans succès, ne pouvant tenir l’équilibre. Je fis appel à notre médecin traitant qui nous envoya directement en urgence à l’hôpital de notre région, situé à 15 km de notre habitation.
Après les premiers soins, trois médecins vinrent et diagnostiquèrent deux embolies, l’une cérébrale et l’autre pulmonaire. Mon épouse était totalement inconsciente; elle ne connaissait plus personne et divaguait sans relâche, tout en gesticulant continuellement.
Son état général était donc préoccupant et l’un des médecins considérait cet état comme quasiment irréversible, avec à la clef des séquelles importantes.
Le soir, aux environs de 20 heures, n’étant plus autorisé à rester auprès d’elle, je la quittai dans un état qui ne présageait même plus une quelconque amélioration. Avant de la quitter, je pris soin de placer
un petit mouchoir de la Madone des Roses dans son oreiller et la signai avec de l’eau de San Damiano.
Le lendemain matin à 08h00 je me présentai à la porte des urgences et je fus accueilli par le médecin de garde qui, avec un large sourire, m’emmena au chevet de mon épouse qui était assise dans son lit avec un visage angélique teinté de rose et un regard heureux de me voir, mais inquiet de se trouver à l’hôpital, car elle ne se souvenait de rien.
Depuis, mon épouse voit son état de santé s’améliorer de jour en jour, à tel point qu’il n’existe plus aucune séquelle.
Je suis absolument convaincu de l’intervention miraculeuse de la Madone que mon épouse et sa mère ne cessent de prier chaque jour.

P.B., Belgique

***

Ayant été, le 1er mars 2003, à San Damiano, pour la seconde fois de ma neuvaine commencée en février, je vous adresse le témoignage suivant:
L’après-midi, pendant que nous récitions les litanies, j’ai levé le regard et j’ai vu, dans le ciel qui était gris, un très grand cercle bleu ciel. Dans ce cercle, il y avait la France en rose et sur la France le soleil blanc…
Cette vision ne me quitte pas, tellement j’ai trouvé cela beau… J’ai fait la neuvaine pour un petit-fils à naître à la fin du mois et que l’on devait opérer aussitôt après la naissance, à cause d’une insuffisance cardiaque.
Les médecins ont demandé par quatre fois à ma belle-fille d’avorter ce bébé de huit mois. Ils ont bien entendu refusé, mais ils vivent dans l’angoisse. Moi seule crois au miracle possible. Si je n’ai pas cette grâce, ma belle-fille ne croira plus à rien. Ils ont déjà trois fils qui sont élevés sans la foi, si Notre-Dame n’intervient pas.
Je confie donc ce bébé et sa mère à vos prières et vous remercie d’avance

Mme M.M.C. à N., France

***

Je suis tombée d’un tabouret et en heurtant un meuble je me suis fracturé trois côtes. Un vrai martyre pendant quinze jours. Au bout d’un mois, je faisais faire une radio de contrôle des poumons et on a constaté que j’avais du liquide dans la plèvre du côté de la fracture. J’ai été hospitalisée à Marseille et on a enlevé par ponction 650 cm3 de liquide. Nouveau contrôle après un mois et on enleva 200 cm3. Durant cette période, mon amie Marguerite de l’Isère m’a envoyé un petit mouchoir bénit de San Damiano. Je l’appliquai toutes les nuits sur le côté en priant la T.S. Vierge. Un mois plus tard on refit un contrôle et il n’y avait plus d’eau. Aucun des médecins n’a trouvé d’explication et je leur ai dit que c’était tout simplement un miracle.
Merci du fond du cœur à Notre-Dame des Roses!

Mme F.M., France

 

Mots-clés