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Le lieu

Etendu sur une grande superficie, le village de Paratico, situé dans le diocèse de Bergame et dans la province de Brescia, compte 4000 habitants. Cette localité surgit à l’extrémité du Sebino, côté Nord, où les montagnes environnantes déclinent sensiblement, s’ouvrant sur un vaste et vague horizon, sauf vers midi, où il est barré par une chaîne de sommets boisés en forme de cercle, pour descendre rapidement sur la rive gauche du fleuve Oglio.
Quant aux origines du nom «Paratico», on prétendait et on prétend toujours qu’étymologiquement il dérive de «terre proche de la source». Certains documents historiques relèvent que le nom Paratico, donné à ce village comme celui de Ripatica, donné à la région baignée par l’Oglio, provient sûrement du fait qu’au Moyen Age  les marchands et les voyageurs qui passaient l’Oglio ou qui allaient et venaient du Sebino payaient le péage à cet octroi. Le paratico était une taxe destinée à l’entretien des voies et des ponts, perçue sur les bateaux et les marchandises comme droit d’embarquement et de débarquement, comme on perçoit aujourd’hui l’impôt d’ancrage dans certains ports.
Suite à l’extension de l’agglomération vers Clusane d’Iseo et à l’accroissement de la population, l’archevêque Clemente Gaddi posa le 1er juillet 1969 la première pierre, en provenance de Lourdes, pour l’édification de l’église appelée «des Tengattini» selon un nom de famille assez répandu dans cette région. Le curé d’alors, Egidio Locatelli, avait apporté personnellement cette pierre de la grotte de Lourdes et marqua ainsi le début des travaux matériels mais aussi des desseins de Dieu. Le 26 novembre 1970 l’autel fut consacré.
Cet endroit est devenu un lieu de pèlerinages, le théâtre de conversions et de guérisons, car c’est bien là que, dans les débuts, la Vierge Marie, la Maman de l’Amour, a posé ses pieds pour inviter ses enfants à retourner à Dieu.

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