L'enfer existe, tels sont les témoignages de sainte Françoise Romaine, sainte Thérèse d'Avila, bienheureuse Anne-Catherine Emmerich, sainte Faustine Kowalska et soeur Lucie, reproduits dans cet ouvrage.
Un ouvrage qui a toute sa raison d'être à l'heure où la réalité de l'enfer «est largement négligée, au profit d'un automatisme du salut» ou bien niée malgré les affirmations les plus explicites de l'Évangile.
Ainsi se crée «un véritable fossé entre la foi de l'Église et ce qui, fréquemment, est effectivement enseigné et prêché, notamment à propos de funérailles».
Le catéchisme dit: «Les affirmations de la Sainte Écriture et les enseignements de l'Église au sujet de l'enfer sont un appel à la responsabilité avec laquelle l'homme doit user de sa liberté en vue de son destin éternel. Elles constituent en même temps un appel pressant à la conversion.»