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La vie prodigieuse de Mariam Baouardy

La vie prodigieuse de Mariam Baouardy

La vie prodigieuse de Mariam Baouardy

(1846-1878)

96 pages + 16 pages d'illustr. couleurs - 14,5x21 cm - Juin 2018

Article n° F1403 - poids 180 g
Editions du Parvis - ISBN 9782880224349
14.00 €
Disponible
La vie prodigieuse de Mariam Baouardy

Mariam Baouardy est née le 5 janvier 1846 à Abellin en Galilée. A 3 ans, orpheline de ses deux parents, elle reste seule avec son frère Paul. Son oncle la recueille à Alexandrie où sa famille a émigré et veut la marier de force, alors qu’elle n’a que 12 ans… Elle refuse, s’enfuit chez un ancien domestique musulman qui lui demande de se convertir à l’islam. Devant son refus indigné, il s’emporte, lui tranche la gorge avec un cimeterre… et la laisse pour morte dans une décharge.
Elle est guérie miraculeusement par l’intercession de la Vierge Marie et se place dans une famille qu’elle suit comme servante au Liban, puis en France, où elle entre au Carmel de Pau. Elle participe ensuite à la fondation du Carmel de Mangalore en Inde et à celui de Bethléem, où elle meurt à 33 ans à la suite d’un accident de chantier: un itinéraire conforme à la prophétie que la Sainte Vierge lui avait tracée lors de sa guérison miraculeus­e.
Béatifiée en 1983 par Jean Paul II, elle est canonisée en 2015 par le pape François. Le 4 juillet 1875, Mariam Baouardy témoigne de son amour pour la France et la Syrie en faisant cette prophétie étonnante: «Viendra un temps qui paraît loin, très loin aux yeux de l’homme, mais aux yeux de Dieu ce n’est pas loin, où la France sera reine aussi… Elle gouvernera la Syrie… Oh! Ce qui réjouit mon cœur, c’est que la Syrie appartiendra à la France.» La région était sous le joug ottoman depuis quatre siècles. Et dire que cela s’est réalisé de 1922 à 1946.
Dans ce Proche-Orient, aujourd’hui dévasté, résonne une prémonition de Sœur Mariam en extase, à Bethléem, et que des mères peuvent faire leur avec désespoir: «En me voyant comme une terre stérile, j’ai crié vers le Seigneur. Je Lui ai dit: “Ma terre est sèche et brûlée, envoyez-lui votre rosée… Mes lèvres sont desséchées, je ne puis les remuer pour Vous appeler à mon secours. Seigneur, envoyez votre rosée à cette terre stérile pour qu’elle reprenne vie.”»

 

Dans les médias:
Le bon Dieu choisit souvent ce qu’il y a de plus petit pour manifester sa gloire. C’est bien ce qui se passe dans le cas de Mariam Baouardy (1846-1878). Jeune Palestinienne orpheline, elle s’enfuit en France pour échapper à un oncle qui veut la marier de force. Entrée au Carmel de Pau, elle est favorisée de grâces mystiques insignes (elle revit la Passion, s’entretient avec le Christ et la Sainte Vierge, a des extases, etc). Ayant gardé sa simplicité toute sa vie, elle transmet dans un langage un peu enfantin ses intuitions et révélations. Si elle est sévère et exigeante pour elle-même, elle a pour les autres une grande douceur. Elle supporte avec patience toutes les épreuves qui lui réserve le Christ, qui l’envoie participer à la fondation d’un monastère en Inde, puis à Bethléem, où elle s’éteindra à l’âge de 33 ans.
Une vie édifiante qui relie France et Proche-Orient en la personne d’une humble carmélite.
Blandine Fabre, pour L'Homme Nouveau