Mirella Pizzioli
Mirella Pizzioli habite aujourdhui Santarchangelo di Romagna (à 5 km de Rimini). Après avoir travaillé avec son mari comme commerçante à Rimini, elle est aujourd'hui femme au foyer en retraite, sans enfants.
Son charisme de «communion des saints» lui permet de recevoir les messages des chers défunts qu'elle transmet directement aux visiteurs en peine. Elle reçoit également des communications dictées par Jésus, la Vierge Marie, des anges, des saints et des créatures de l'au-delà.
Ces messages aident à progresser vers une foi plus pure et plus active, au service de Dieu et du prochain. Une foi qui permet de dépasser les doutes et les perplexités.
Le Seigneur lui-même a souhaité que les rencontres de Mirella Pizzioli avec des êtres de l'au-delà soient divulguées à travers le monde pour que d'autres puissent en bénéficier. C'est le but que poursuit la publication de ses quatre ouvrages:
– Porte ouverte sur l'au-delà (tome 1) - la mort n'existe pas!
– Porte ouverte sur l'au-delà (tome 2) - témoignages de vivants de l'au-delà
La mission de médiation de Mirella Pizzioli
Après avoir découvert le charisme de «communion des saints» de Mirella Pizzioli voici maintenant un écho de sa mission: comment le ciel explique-t-il cette mission? Quelle est l’origine de ce charisme donné à Mirella? Comment s’inscrit-il dans le dessein universel de salut de Dieu? De quelle manière Mirella reçoit-elle les lumières? Quelle est son évolution?
Du sacrifice d’une maman à la grâce du charisme de la communion des saints
Ce témoignage venu du ciel est extraordinaire. Il corrobore celui de la Petite Thérèse. Il fait grandir l’espérance et fortifie la persévérance de tous ceux qui souffrent et se sentent psychologiquement inutiles. Quel bien immense peut opérer la foi d’une petite âme qui croit vraiment que sa souffrance offerte en communion avec le Sacrifice de Jésus peut vivifier aujourd’hui ou demain le monde par une pluie de grâces, sans parler de la récompense au ciel!
«Mirella, ta maman a offert sur la terre son sacrifice de souffrances pour cet extraordinaire et non naturel dessein de Dieu. Ces faits, qui sortent de l’ordinaire, sont surnaturels, inexplicables sur la terre. Aucune créature humaine, je répète, aucune créature humaine ne peut donner une explication, à moins qu’elle ne soit vue à travers la foi, et donc en inclinant la tête devant la volonté, la puissance et la miséricorde de Dieu.
Ma fille, ta maman est très aimée au ciel, elle sourit; elle est heureuse. Toutes les saintes créatures auxquelles Dieu permet, à travers toi, de communiquer leur joie à leur famille sur la terre, toutes ces créatures savent qu’elles passent à travers ma souffrance sur la terre et elles traduisent leur gratitude et leur amour par des prières pour toi et pour vous tous. N’aie jamais peur, mais va de l’avant, toujours, le cœur serein et avec la certitude d’être suivie et aidée par les créatures du ciel. C’est Dieu le grand inventeur et l’opérateur de tout ce qui arrive. Comme un grand chef d’orchestre, il dirige les symphonies des cœurs. Un baiser de ta maman, pour toi… et à toute la famille qui sur la terre suit la Parole du Seigneur. Mirei1, quel amour pour vous tous… Myriam, Marco, votre maman Elia vous aime. (Elle me dessine une petite fleur2).»
Il n’y a qu’une seule oeuvre, toujours, depuis toujours et pour toujours
Dieu n’a qu’un seul dessein, notre salut. Quand il envoie un message prophétique, peu importe le ou les messagers du ciel et de la terre. C’est Dieu qui l’ordonne et le veut; c’est sa Parole qui ne lui revient jamais sans produire son fruit. Elle se déploie dans le temps de la terre à travers une multitude de prophètes et de voyants, pour inviter les hommes à entrer dans l’amitié avec Dieu, à avoir part au salut et, au terme de la vie sur terre, à jouir des biens du ciel. C’est pourquoi il ne serait pas évangélique d’imiter ceux qui se réclamaient de Pierre ou d’Apollos contre Paul ou le Christ! (1 Co 1,12). Tout vrai messager est porteur de l’unique Parole de Dieu, semence du Père.
L’ange: La première partie est conclue. Commence la seconde; elle fait toujours partie de la première, parce que la Parole de Dieu ne change pas, ni dans sa substance, ni dans sa forme. Elle suit encore moins les prétendues modes.
Cette façon de parler de cycle et de nouvelle ère est simplement une façon très humaine de parler. Nous l’utilisons pour te permettre de comprendre, toi avant tout, Mirella, et tous ceux qui te liront. Un petit temps qui a été employé pour cette grande œuvre de Dieu, sans limites, voulue par amour pour vous tous sur la terre. Nous parlons de cycles pour que soient plus compréhensibles nos non-temps qui doivent se conformer à vos temps. Et puis j’ai dit que cette œuvre que Dieu promeut maintenant, à travers Mirella, est sans limites parce que Dieu continuera dans le temps — je parle toujours du temps de la terre — à travers d’autres instruments et d’autres formes. Il n’y a toujours qu’une seule œuvre, depuis toujours et pour toujours; mais avec divers instruments et par des méthodes diverses dans les temps et dans le temps. C’est Dieu l’Opérateur et donc il n’y a qu’une seule œuvre: manifestations surnaturelles, apparitions, phénomènes inexplicables, tout ce qui vient du ciel et depuis toujours dans le temps et ce qui adviendra, c’est toujours la seule et unique œuvre. Mirella, tu fais partie de ce dessein, de cette extraordinaire mosaïque pleine de couleurs et de nuances, mais seulement et toujours unique dessein. L’œuvre de Dieu est une. Moi, ton ange, j’ai voulu t’aider à comprendre, j’ai parlé pour toi, naturellement, mais aussi pour tous ceux qui liront et voudront discuter.
Mirella, combien de regards sont tournés vers toi maintenant… combien de mains tendues… combien de sourires et des milliers de remerciements à Dieu parce qu’il permet à tant de ses créatures de pouvoir dire leur bonheur d’être au ciel.
A tant de «savants» sur la terre, je réponds par une question: «Pourquoi pas? Qui peut entraver la volonté de Dieu? Qu’est-ce qui est si impossible? Même si Dieu permet à ses déjà saintes créatures du ciel de se manifester à travers ces dictées de lumière, c’est toujours Dieu qui parle, parce que moi, ange, nous, créatures du ciel, nous ne pouvons parler qu’à travers Dieu, bien que notre volonté soit toujours libre, mais notre liberté est libre et heureuse d’aimer, et en aimant Dieu, Dieu parle en nous et nous parlons en lui.
Ma chère sœur, je suis près de toi et je te bénis, moi, ton ange gardien qui t’ai révélé mon nom, je m’appelle Lumineux et je suis lumière lumineuse. Je te bénis, petit papillon.
Mirella: Comme je lui demande pourquoi «petit papillon», il me répond: «Répands avec amour le pollen de l’amour que tu reçois de nous. Tout est œuvre de Dieu.»
Mirella: «Que puis-je dire? Tout est si incroyable… mon ange gardien… merci, merci pour ta consolation. Je t’embrasse, mille baisers, aide-moi toujours, protège-moi de tes ailes. Pardonne-moi, ange Lumineux si maintenant je vais dormir, j’ai tant sommeil. Il est très tard. Reverrai-je ton visage, ton sourire? Anges, faites que cette nuit soit une nuit de paix pour toute l’humanité3.»
Nous susurrons des paroles d’amour à tes pensées
Beaucoup se demandent comment ces communications étonnantes se réalisent concrètement, comment Mirella reçoit ses messages et comment elle voit, entend… Voici une réponse du ciel:
Le peuple céleste: «Mirella, que la lumière du Seigneur t’illumine, que la joie du ciel te remplisse le cœur, que la douce mélodie des sons harmonieux du ciel charme ton coeur et ton esprit, que ton âme se remplisse de la félicité joyeuse du ciel. Nous, douces créatures, inoffensives, saintes, nous parlons tendrement, susurrant des paroles d’amour à tes pensées. Heureux, toujours plus heureux, dans une félicité totale et toujours plus grande, nous entrons dans tes pensées, parce que Dieu le permet. Tu écoutes, tu vois avec nos yeux, tu sens notre parfaite sensibilité entrer dans ta sensibilité et tu sais. Sans Dieu, nous ne sommes rien, et toi sans nous et sans Dieu tu n’es rien. Tu reçois, tu écoutes et tu vois par nous, créatures parfaitement parfaites. Dieu te donne des dons, afin que les créatures en te regardant et en t’écoutant voient la puissance du Seigneur. Tu auras beaucoup plus. Tu as déjà reçu beaucoup d’émotions infinies. Lentement, peu à peu, toujours plus, tu recevras, afin que les créatures louent Dieu toujours plus et se convertissent à Dieu. Tu entreras avec nous dans le règne des cieux et tu décriras ce qu’à travers nous tu verras, parce que Dieu le permet. En haut, toujours plus haut, pour que les cœurs puissent rejoindre la cime et s’émerveiller de la puissance, mais surtout de l’amour de Dieu.
Avec toi nous sommes tous. Nous tous, ensemble avec toi, et Dieu en chacun de nous. Quel bonheur, Mirella4.»
Mirella: «Seigneur, je suis là pour t’aimer et te servir.»
Progressivement, au fil de ces communications pleines d’amour et de tendresse, Mirella se transforme au printemps de Dieu, comme une fleur s’ouvre au matin d’un soleil radieux:
L’ange de la paix: «Ta vie, ma sœur, est au service de Dieu. Désormais ton cœur est sien, tu t’en aperçois, et cela te rend consciente de l’œuvre que Dieu accomplit par toi: la douceur remplit ton âme et la lucidité avec laquelle tu perçois la présence de Dieu te rend consciente de ta toujours plus grande disposition aux choses de Dieu et à Dieu lui-même. Dieu t’élèvera vers les cieux, ton âme sera transportée, et les visions rempliront ta vie. Parfois, sur une nuée azurée, tu navi-gueras dans l’infini de l’infini et tu donneras le témoignage de la gloire de Dieu.
L’ange de la paix, le chérubin de Dieu, t’embrasse et te bénit. Bienvenue au milieu de nous. Amen5.»
Mirella: «Ange chérubin, et vous tous, anges du ciel, priez pour moi, pour que je sois digne de tant d’amour.»
Oui, Dieu s’émeut et se laisse extirper les grâces
Devant la magnificence du don que le Seigneur a fait à Mirella et face à la responsabilité qui lui incombe, comment réagit cette médiatrice entre le ciel et la terre? Elle s’étonne: comment est-ce possible que je puisse, moi, continuer à être ainsi normale…
Mirella: «Que d’émotions! Et pourtant, je ne réussis pas à m’expliquer comment je ne deviens pas folle de joie.
Quand le Seigneur, dans son infinie bonté, veut me faire le don de “quelque chose” d’extraordinaire, il commence peu à peu à m’instruire. Je le sens, mais je ne demande pas ni ne pose de questions, je continue mon travail et j’attends, sans y accorder trop d’importance.
Les enseignements peuvent même durer quelques années. Et puis quand je n’y pense pratiquement plus, par un ange ou une autre sainte créature, on vient m’expliquer avec clarté ce que je devrai faire. Je ne sais pourquoi, mais je me retiens toujours, je n’ose presque jamais “me jeter à l’eau”, je n’en parle à personne, si ce n’est avec mon directeur spirituel qui connaît ma réticence, ma timidité, la peur d’apparaître trop et trop bonne (de fait, je ne le suis pas, et parfois je suis même bourrue et cela me déplaît).
Humainement, je me retire, même si dans mon cœur je sais et je sens qu’au contraire je devrais oser davantage.
Jésus est très patient avec moi, et il me conduit lentement jusqu’au point où je dois décider: ou oui, ou non. Et c’est alors que l’émotion me saisit totalement, l’amour est si grand! Le plaisir de le servir est si grand!
C’est grand de le rendre heureux et, en conscience, je dis: “C’est bon, Seigneur, j’accepte avec joie, Seigneur.” Quand je dis ces paroles, c’est comme si je n’avais plus de barrières, je n’ai plus peur, mais du courage et de la détermination. Je commence ma nouvelle tâche.
Il en fut ainsi, par exemple, quand le Seigneur a voulu que j’impose les mains sur les personnes souffrantes aussi bien de l’âme que du corps, et que je prie pour leur guérison spirituelle et physique.
J’avais honte, je n’osais toucher personne, seulement quelques caresses et beaucoup de tendresse. Mais à partir du moment où j’acceptai, après quelques années de préparation, j’ai vu de mes yeux, la bonté et la puissance de Dieu.
Guérisons physiques, mais surtout conversions et nouvelles énergies spirituelles. On m’a dit: “De tes mains, la vie naîtra” et de mes mains il sort un “quelque chose” que je vois mais ne sais définir.
Un jour, tandis que je priais, j’ai demandé à la Maman du ciel ce que c’était que cette chose, et ce que je pouvais répondre à ceux qui m’interrogeaient. La réponse a été immédiate: “un palpitant faisceau de particules d’amour divin”.
Quelquefois, je regarde mes mains et je me demande comment le Seigneur a pu me choisir, moi, pour des choses aussi grandes. Je suis si ordinaire, moi! Si imparfaite! Si réticente!
Par sincérité, je dois pourtant dire que toutes les fois que mes mains effleurent une créature et que je prie pour elle, la prière qui monte de mon cœur, de mon âme, de mon esprit, est vraiment profonde, sincère, vraie: Dieu est là, devant moi, et moi j’ai la possibilité, parce qu’il me la donne lui-même, de lui arracher une grâce, de l’émouvoir, en priant pour une personne qui souffre. Oh, oui, Dieu s’émeut et se laisse arracher les grâces.
“Mirella, je vais bien!” “Mirella, merci!”
Ce n’est pas moi; non, moi je cours aux pieds de Jésus… Vous courez… nous courons… J’élève les yeux vers le ciel et encore une fois, Seigneur, tu nous donnes la preuve de ta compassion, de ton amour, de ta puissance. Et moi? Je continue à rester normale… mais comment est-ce possible?6»
Oui, chantez à Dieu un chant nouveau, car il fait des merveilles, acclamez-le, toute la terre, éclatez en cris de joie! (Ps 98)
Christian Parmantier
(Extrait de «Porte ouverte sur l'au-delà, tome1, pages 16-23»)
Notes:
1. Maman m’appelait Mirei; Myriam, c’est ma soeur, et Marco, mon frère.
2. Voir «Nous avons tous besoin d’amour», p. 35.
3. Voir «Il n’y a qu’une seule œuvre…», p. 48.
4. Voir «Le peuple céleste…», p. 103.
5. Voir «Quelquefois, d’un nuage azur… le chérubin», p. 104.
6. Voir «Comment est-ce possible que je puisse, moi…», p. 135.
Mirella Pizzioli parle le français et l'espagnol. Elle ne reçoit que sur rendez-vous et chacun individuellement. Sa tâche est d'écouter, prier, voir, raconter et transmettre. Pour goûter aux merveilles de Dieu, il est nécessaire de la rencontrer seul. Elle lit toutes les lettres mais n'y répond pas.
Mirelli Pizzioli
Via P. Borsellino, 24,
I-47822 Santarcangelo di Romagna
Tél. 0039 05 41 62 13 49 (après 20h)
Internet: www.mirellapizzioli.it
E-mail: info@mirellapizzioli