France, tu renies le Dieu qui t’a donné la puissance et la gloire
Seigneur, pardonne-moi personnellement. Et, pardonne-moi en tant que française: devant toi j’ai honte des décisions prises, tant par le gouvernement (je suis Charlie) que par les instances judiciaires. La cour de cassation a validé un mariage gay franco-marocain, au mépris du Maroc qui ne le reconnaît pas. La France signe, oui... et provoque. Pardonne-lui «elle» ne sait pas ce qu’elle fait! Envoie sur nous ton Esprit Saint pour que les consciences se réveillent... Pardon!
France, mets tes drapeaux en berne et prépare-toi pour la vengeance de Dieu. Tu seras abattue, humiliée, ravalée au rang de plus pauvre des pauvres, car tu n’as su saisir la main que je t’ai tendue.
Fière, arrogante, odieuse, tu proclames devant ma face tes ignominies avec un aplomb que tu ne peux puiser que dans les puissances infernales! Comment oses-tu «défendre les juifs» en faisant mémoire de l’holocauste alors qu’aujourd’hui en tous tes centres de santé l’on s’acharne à tuer l’enfant qui n’est pas né et à exterminer avec méthode les malades que l’on y a confiné à force de tranquillisants.
France, tu renies le Dieu qui t’a donné la puissance et la gloire tandis que tu t’attachais à défendre sa loi divine... Où cours-tu sans élan, disais-je il y a quelques temps! Maintenant, loin, oh loin de revenir vers moi, tu ne cours pas mais tu te précipites avec frénésie vers l’abîme, entraînant à ta suite tous ceux qui sont venus vers toi: terre de liberté et de respect de chacun!
Hypocrite, ton jeu macabre se dévoile et sous ton fard paraît ton teint blafard et ton cœur empli de peur et de haine. Tu n’existes plus, tu as vendu ton âme au diable.
Désormais, je te délaisserai et tu vivras le sort que je réserve à ceux qui, non content de me trahir, semblent s’en glorifier. Il te faudra descendre jusqu’à toucher le fond de la misère... et jusqu’à reconnaître ton péché si tu veux un jour te relever. Je te retire tes hautes protections et te livre à toi-même et à tes desseins mauvais.
Yahweh des armées l’a dicté!
Quant à vous, mes bien-aimés, il vous faut revêtit l’armure de la foi et le bouclier de l’espérance. Ne craignez rien si vous m’êtes dévoués: votre vie m’appartient. Restez-moi bien fidèles, priez et intercédez sans vous lasser pour vos frères et sœurs aveuglés. Ne perdez plus de temps à chercher à convaincre ceux que Satan tient englués. Priez! Rassemblez-vous, organisez-vous pour tenir bon dans la prière, la louange et les œuvres de charité. Offrez-moi vos cœurs par Marie, offrez-moi vos lèvres, j’y apposerai le baiser de ma paix.
Veillez et résistez avec la plus grande vigilance à tout mouvement de haine, à toute colère, à toute expression de jugement sur vos proches ou ceux qui vous gouvernent. Un mot, une consigne: demandez-moi la grâce de la maîtrise de vous-mêmes, relisez l’épître de saint Jacques. Exercez-vous tant qu’il est temps: le mal rugit et sa rumeur n’ira qu’en s’amplifiant.
Vous? Réfugiez-vous dans la paix de mon cœur uni à celui de la Vierge, ma mère et la vôtre, et vivez pour le Royaume. Vivez des sacrements, intensément, tant que vous le pouvez.
Je bénis celui qui m’aura entendu... jusqu’à m’obéir. Il me permettra alors de le protéger.